Vous venez à d’être réélu pour un deuxième mandat à la tête de La Fédération nationale des détaillants en produits laitiers. Présentez-nous cette profession ?
Elle revient de loin. Après-guerre, il y avait 12 000 crémiers-fromagers, puis leur nombre était tombé à 2 000. Aujourd’hui, il remonte à 3 200. Le nombre d’adhérents à la fédération est également en progression : on est passé de 500 à 600 adhérents à presque 1 000, aux alentours de 920/940. Nous nous sommes donnés comme objectif d’atteindre les 1 000 membres, ce qui est un bon ratio pour 3 200 détaillants.
Aux côtés des deux zones fortes que sont la région parisienne et la région lyonnaise, nous avons maintenant des adhérents de Rennes, du Jura….