Comment se porte la boucherie-charcuterie ?
Le secteur va bien, à part quelques plaintes dans les campagnes contre les agriculteurs qui vendent de la viande en direct. Il ne ressent pas trop la crise. Les différentes réglementations qui se superposent (compte pénibilité, règles d’accessibilité, produits allergènes…) sont mal reçues par la profession.
Point positif : notre métier a considérablement remonté dans l’esprit des jeunes. Nous avons de plus en plus d’apprentis, ils sont environ 9 000, ce qui n’était pas le cas auparavant.